Expatriation des ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ: Quels bénéfices?
Bonjour à tous.
Les ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ sont de plus en plus nombreux à s'expatrier à l'étranger depuis quelques années. Pour mieux comprendre les raisons derrière cet élan d'expatriation, IPSOS a conduit une étude à la demande de la Banque Transatlantique, rendue publique la semaine dernière. En voici quelques points forts:
L'expatriation rapporterait de nombreux avantages à la France ainsi qu'aux ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ. Selon ce sondage réalisé en mars 2014, un ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ sur cinq souhaiterait s'expatrier à l'étranger. Face au taux de chômage et à la situation économique de la France, ils seraient de plus en plus nombreux, principalement les jeunes, à songer à partir ailleurs. Les retraités constituent également une large proportion des expatriés. Les pays les plus populaires en termes d'expatriation sont le Canada, les États-Unis, sans oublier l'Australie, mais aussi la Suisse et l'Espagne.
Motivations
Les raisons motivant l'expatriation des ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ sont diverses. Certains d'entre eux préfèrent s'installer dans un autre pays pour des raisons fiscales et d'autres pour des raisons d'ordre professionnel. En effet, ils recherchent principalement des pays où ils auront la possibilité de payer moins d'impôts et où ils auront un meilleur emploi avec un salaire plus attrayant. Pour d'autres encore, il s'agit d'un moyen essentiel pour apprendre les langues étrangères ou encore pour poursuivre ses études supérieures.
Néanmoins, la plupart d'entre eux se prononcent en faveur d'une expatriation à court-terme, soit d'au moins un an et pas plus de 7 ans. Notez, également qu'un ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ sur trois, particulièrement les professionnels, diplômés ou cadres, déclarent s'être expatriés pendant plus d'un mois. L'étude révèle par ailleurs que les ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ font partie des nationalités les plus recherchées par de nombreux pays en termes de formation et de professionnalisme.
Un retour en France?
Il est aussi intéressant de noter que la majorité des expatriés français ont la ferme intention de rentrer ultérieurement en vue de ramener leur expérience et leurs idées pour le progrès du pays. Selon l'étude, la plupart des ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ considèrent l'expatriation, surtout celle des jeunes, comme étant un atout pour le pays ainsi que pour les individus. D'ailleurs, 92% des sondés avouent avoir une bonne image de ceux qui se sont expatriés à l'étranger.
Pour conclure, ces derniers sont d'avis que les ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ doivent avoir accès à plus d'informations sur les opportunités existantes à l'étranger, que ce soit en terme de travail, d'études ou de formation. Ils pensent aussi qu'il faudrait développer davantage les services d'accompagnement pour les expatriés.
Lien utile:
Enquête IPSOS pour la Banque Transatlantique
souvent je remarque chez les nouveaux arrivants en Afrique c'est qu'ils pensent que la vie est moins cher et donc qu'il n'auront aucun problème pour y vivre sans forcément voir les cotés négatifs (coupures d'eau ou d'électricité) pénurie de leur céréales préférés, voir manque d'essence,...) si bien qu'au bout de quelques temps, il "doivent se dire" que la vie en France où le chômage est payé, les frais de santé remboursés et la retraite, ect c'était peut-être pas si mal.
y a une autre partie qui se dit super le soleil, la mer et les cocotiers. Au Bénin, se baigner dans la mer est trop dangereux et soleil au bout d'un moment fêter noël sans froid et neige c'est fade. c'est souvent les discours que j'entends chez les expats. personnellement je suis bien contente de ne plus décongeler ma voiture le matin avant d'aller au boulot. la mer, soleil et cocotiers, quand tu dois travailler 9h par jour pour quelques Francs cfa, ta même plus envie de sortir de chez toi.
et la réalité est des fois difficiles à vivre surtout quand on ne s'y attend pas. c'est pourquoi il faut toujours venir voir son pays d'adoption avec des yeux de résidents avant d'être vrai résident.
1 français sur 5, c'est énorme, bien plus que quand je suis partie… La vérité, qu'en ont passe plus de 5 ans hors de France, le retour en métropole est très dur. L'impression de rentrer dans un pays qui régresse alors que la ou ont vivait le pays progressait…
1 français sur 5, c'est énorme,
Oui mais c'est la proportion de ceux qui "songent". Quand on retire les velléitaires ou ceux qui ne donnent pas suite, on est loin du compte
Tout à fait d'accord Combien de fois ont m'as dit être chanceux de vivre à Londres ou à Bangkok et à chaque fois que je posais la question “Pourquoi pas toi” j'avais des réponses de type, sécu, retraite, chômage, aide sociale… Jamais compris ceux qui était bien docile jusqu'à la retraite. Pas sortir des clous, pas faire de vague jusqu'à ce moment fatidique. Ma mère travaillait dans une maison de retraite et la vérité, c'est ça qui m'a donner envie de partir en premier lieu car rien ne garantie d'être en bonne santé ou encore en vie pour profiter de la vie après 60 ans.
Carpe diem, il y a que ça de vrai
gwengoat a écrit:Tout à fait d'accord
Combien de fois ont m'as dit être chanceux de vivre à Londres ou à Bangkok et à chaque fois que je posais la question “Pourquoi pas toi” j'avais des réponses de type, sécu, retraite, chômage, aide sociale… Jamais compris ceux qui était bien docile jusqu'à la retraite. Pas sortir des clous, pas faire de vague jusqu'à ce moment fatidique. Ma mère travaillait dans une maison de retraite et la vérité, c'est ça qui m'a donner envie de partir en premier lieu car rien ne garantie d'être en bonne santé ou encore en vie pour profiter de la vie après 60 ans.
Carpe diem, il y a que ça de vrai
Cela dit, prendre garde de ne pas se considérer comme supérieur, ou même "ayant fait les bons choix" parce qu'on est expat' et pas les autres.
En outre il y a des contraintes familiales... Tout le monde ne peut pas laisser des vieux parents au loin, par exemple. Pour ma part j'ai dû attendre (et sans m'impatienter) le décès d'une aïeule sont j'étais le seul soutien moral pour partir à 32 ans. Et là où je suis allé, je n'aurais pas emmené d'enfant!
L'herbe paraît toujours plus verte ailleurs, mais quand on la broute elle est parfois d'un goût bizarre! Chaque situation est différente et on peut fort bien réussir sa vie en restant "dans les clous" tout comme j'ai vu assez d'expat's qui n'étaient matériellement et mentalement, que des traîne-savates inspirant fort peu d'envie et de respect (je ne parle pas seulement de la situation matérielle).
En outre l'expat' sous contrat bétonné qui ne regarde que les chaînes de télé de sa parabole, qui ne fréquente que d'autres expat's, qui rentre deux fois par an "au pays" en est-il réellement un?
Idem pour l'étudiant ERASMUS!
Je ne dis pas avoir fais le bon choix, mais au moins je l'assume, c'est déjà pas mal Les traines savates dont tu parles, j'en ai vu des tonnes. Je ne suis pas très famille pour ma part, ne regarde pas la télé et ne traine pas trop avec les expats, du moins, pas les français en tout cas, donc, être coupé de la France me va très bien, mais je sais que cela n'est pas donné à tout le monde, d'ou le faite que les expats de tout pays tendent à ce rapprocher à l'étranger (qui ce ressemble s'assemble parait-il)…
Pour ma part je n'étais pas très "famille" en général, mais je vénérais cette aïeule en particulier (c'était réciproque) et j'aurais été le dernier des salauds, dans ces conditions, de l'abandonner dans la solitude complète.
En outre quand tu t'expatriais comme moi en 1983, en proportion des revenus, le transport aérien coûtait cinq fois plus cher, les fax, skype, internet n'existaient pas, le téléphone coûtait une fortune (1mn pour le Venezuela égalait deux heures de SMIC) Conviens que l'éloignement était plus substantiel!
C'est clair qu'entre s'expatrier avant 2000 et maintenant déjà il y a une vrai différence. Suffit d'avoir un iPad et tu télécharge le livre ou la revu que tu veux en français sans galérer ou un coup de skype ou facebook et hop, t'es en contact avec qui tu veux… Alors à ton époque, c'est vrai que c'était psychologiquement plus éprouvant sur tout les points…
Étant actuellement en échange universitaire en Chine et ayant toujours voulu travailler et faire ma vie à l'étranger. Je pense aussi qu'il y a quelques année cela devait être plus dur psychologiquement. Je vous rejoint aussi sur les étudiants ERASMUS et même en générale lors des échanges universitaire, on est pas dans l'ambiance expat pour moi.
Il n'y a qu'a voir la réaction de mes amis lorsque j'ai annoncé que je prenais la seule place pour partir en Chine...ils ont dit que j'étais fou de partir seul, que ça allait être moins fun.
Je pense que c'est juste différent. J'ai voulu partir en Chine pour découvrir une nouvelle culture, voir comment les chinois travaillaient et qu'est ce que la Chine réellement, d'un point de vue économique et sociale.
Je ne suis la que depuis 3 mois et j'aime beaucoup pour ma part. Le vrai test sera pour moi lorsque je travaillerais pendant un an (j'espère début septembre).
Après je ne sais pas si on peut réellement me considérer comme un expat pour le moment
Henry-chine a écrit:Étant actuellement en échange universitaire en Chine et ayant toujours voulu travailler et faire ma vie à l'étranger. Je pense aussi qu'il y a quelques année cela devait être plus dur psychologiquement. Je vous rejoint aussi sur les étudiants ERASMUS et même en générale lors des échanges universitaire, on est pas dans l'ambiance expat pour moi.
Il n'y a qu'a voir la réaction de mes amis lorsque j'ai annoncé que je prenais la seule place pour partir en Chine...ils ont dit que j'étais fou de partir seul, que ça allait être moins fun.
Je pense que c'est juste différent. J'ai voulu partir en Chine pour découvrir une nouvelle culture, voir comment les chinois travaillaient et qu'est ce que la Chine réellement, d'un point de vue économique et sociale.
Je ne suis la que depuis 3 mois et j'aime beaucoup pour ma part. Le vrai test sera pour moi lorsque je travaillerais pendant un an (j'espère début septembre).
Après je ne sais pas si on peut réellement me considérer comme un expat pour le moment
je suis comme toi je n'arrive pas à me considérer comme expat. Pour moi, un expat est quelqu'un envoyer par son pays/ son entreprise pour travailler dans un autre pays, avec prime d'expat en plus. moi, je vis ici de mon propre gré envoyé par personne je travaille au salaire local et sans prime. Et ça m'enerve quand à l'institut français on me fait payer le prix fort d'expat, j'ai pas l'argent d'un expat.
Articles pour préparer votre expatriation
Se déplacer à l'île Maurice
Bus, taxis, moto, hélicoptère, bateau et le tram... Il est facile de se déplacer à ...
Travailler à l'île Maurice
Bien entendu, le climat professionnel à l'île Maurice diffère de celui que l'on peut ...
Achat immobilier aux Philippines
 Si, comme de nombreux étrangers avant vous, vous avez été séduit par les ...
Achat immobilier au Vietnam
Si vous envisagez un séjour prolongé au Vietnam, l'idée d'investir dans un ...
Retraite en Polynésie française
La Polynésie française, avec ses eaux cristallines, ses plages de sable blanc et sa douceur de ...
Travailler en Polynésie française
La Polynésie française, avec son allure de paradis tropical, peut-être une destination de ...
Se loger au Maroc
La recherche d'un logement au Maroc peut soulever de l'inquiétude si vous n'êtes pas ...
Étudier à l'île Maurice
L'enseignement supérieur monte en puissance à l'île Maurice, qui devient une ...
Questions et réponses

